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Google Discover est une fonctionnalité de plus en plus plébiscitée par votre audience. Disponible uniquement sur mobile, le flux Discover permet de pousser des contenus en rapport avec les centres d’intérêt des utilisateurs. Mais l’algorithme de Discover est différent de celui de la recherche classique, et vous devez avoir une approche spécifique en tant qu’éditeur de site.
C’est quoi la fonction du flux Discover ?
Google Discover est un flux de contenus personnalisés en fonction des centres d’intérêt de chaque utilisateur, dans une logique de “Push Marketing”. Ce flux remonte essentiellement des articles de blog (contenus éditoriaux) et des vidéos.
L’algorithme analyse de nombreux paramètres pour déterminer les articles à pousser :
- L’historique de navigation ;
- Les recherches Google ;
- Le comportement sur Discover lui-même ;
- La situation géographique ;
- Toutes les données partagées et exploitables (notamment sur un cadre légal).
Ce flux est à l’origine uniquement disponible sur smartphone. Il est étendu au desktop depuis avril 2025 dans certains pays.
Le flux Discover évolue-t-il dans le temps ?
Chaque internaute possède son propre Flux Google Discover, et les articles proposés évoluent au fil du temps : par exemple, un internaute qui n’ouvre jamais des articles sur la pêche à la ligne, même s’il s’agit de l’un de ses centres d’intérêt identifiés, ne s’en verra plus proposer. Un utilisateur peut également demander à ne plus voir les contenus de votre site en cliquant sur “Ne pas afficher de contenu de : $thème “.
Le flux est également ajusté selon la position géographique de l’utilisateur. Vous vivez à Lyon, vous aurez dans votre flux Discover des articles locaux sur la région lyonnaise. Vous partez en déplacement à Marseille ? Des contenus sur la cité phocéenne vont temporairement remonter dans Discover. Si vous les consultez et montre de l’intérêt, vous aurez certainement une persistance des contenus sur Marseille pendant quelque temps.
Quels sont les concurrents de Google Discover ?
Certains de mes clients ont tendance à voir dans Discover un concurrent à la recherche traditionnelle sur Google, voire aux moteurs de recherche génératifs. Il n’en est rien, car Discover se positionne dans une économie de l’attention, avec pour vocation de concurrencer les réseaux sociaux qui affichent des flux de vidéos ou de posts tels qu’Instagram, TikTok, YouTube Shorts, Facebook ou même LinkedIn.

Par certains aspects, Discover est la réponse du leader de la recherche en ligne aux réseaux sociaux comme TikTok ou Instagram, avec une dimension addictive et un effet zapping très présent.
Quelles optimisations techniques pour votre référencement Discover ?
Avant de déployer une stratégie éditoriale “Discover-Friendly”, vous devez mettre en œuvre certaines optimisations techniques :
- Être mobile-friendly,
- Respecter les signaux web essentiels
- Proposer une image
- Utiliser les données structurées
Les articles au format AMP sont également susceptibles de remonter sur Google Discover.
Un contenu mobile-friendly
Le flux de contenus Google Discover remonte uniquement sur les terminaux mobiles. Vous devez donc impérativement produire un contenu 100% mobile-friendly.
Google a supprimé depuis 2023 son rapport Mobile Friendly. Vous pouvez toujours vérifier l’affichage de vos pages sur mobile ou utiliser les rapports LightHouse ou PageSpeed Inisghts qui vous remontent les échecs rencontrés en termes d’ergonomie mobile. Je ne peux que vous conseiller de vous tourner vers un professionnel du SEO si vous avez des doutes.
Respecter les signaux web essentiels
Un contenu destiné à être consulté sur un smartphone, parfois avec une connexion limitée ou instable, doit être rapide à charger.
L’algorithme de Google Discover privilégie des sites rapides, qui respectent les signaux web essentiels. Vous devez vérifier sur votre compte Google Search Console que votre site (ou a minima les templates des pages destinées à ressortir sur Discover) respecte les métriques des Core Web Vitals.
Proposer une image d’une largeur suffisante
Vous devez intégrer au moins une image dans votre contenu. S’il est possible de ressortir avec une image de petite taille (cela reste quand même rare), il est recommandé d’utiliser des images d’au moins 1200 pixels de large. Vous devez utiliser le paramètre max-image-preview:large ou le format AMP.
Ainsi, le navigateur pourra afficher l’image dans un large format en vignette dans le flux de contenus.
Une simple ligne de code à ajouter
L’activation est très facile : ajoutez simplement la ligne de code suivante entre les balises
de votre page web : <meta name=”robots” content=”max-image-preview:large” />.Utiliser les données structurées
Les données structurées apportent une couche d’informations supplémentaires qui apportent un contexte aux algorithmes des moteurs de recherche.
Vous pouvez afficher des données structurées de type Article en reprenant a minima le balisage obligatoire :
- @headline (titre)
- @author (auteur de l’article)
- @datePublished (publication de l’article)
- @dateModified (date de modification de l’article)
- @articleBody (contenu de l’article)
Des extensions facilitent l’ajout de données structurées sur votre site, elles sont disponibles sur de nombreux CMS.
Faciliter l’exploration et l’indexation
Un article destiné à remonter sur Google Discover doit être rapidement exploré et indexé par Google. Vous devez donc utiliser toutes les solutions à votre disposition pour accélérer ce processus :
- Optimisez le maillage interne de votre article : affichage dans sa catégorie, menu thématique présentant les articles récents, sélection d’articles récents en page d’accueil ou page d’univers très bien maillée, etc.
- Actualisez votre fichier sitemap à chaque nouvel article : il est régulièrement parcouru par Google pour découvrir vos nouveaux contenus.
- Partagez votre article sur vos comptes sociaux : vous accélèrerez son exploration et vous enverrez des signaux montrant l’intérêt porté par votre audience à ce contenu.
Comment rédiger un contenu optimisé pour Google Discover ?
La rédaction de contenus pour Google Discover répond à des règles différentes de celles utilisées par l’algorithme principal de Google. Vous devez donc changer de paradigme pour vous imposer sur ce flux.
Rédiger sur des thèmes légitimes pour votre site web
De nombreux thèmes peuvent ressortir sur Google Discover, y compris des thématiques de niche. Le flux est en effet personnalisé en fonction des centres d’intérêt de l’audience, et ceux-ci sont d’une diversité quasi infinie.
Vous pouvez ressortir Discover quand vous abordez des thèmes pour lesquels vous êtes légitimes : un site de niche comme www.opex360.com peut par exemple remonter (et remonte) sur des sujets propres à la défense, mais il n’aura guère de probabilité d’être cité sur des thèmes sans rapport avec ce secteur comme la santé ou le BTP.
Articles et vidéos
Vous pouvez également ressortir sur Google Discover avec des vidéos. Aujourd’hui, ce sont surtout les sites de presse qui remontent par ce média.
Vous devez savoir que Google Discover fonctionne sur le principe des entités. Les entités (personnes, marques, lieux, organisations…) sont la brique de base du Knowledge Graph, qui alimente aussi Discover. Pour un meilleur référencement, vous pouvez associer vos thèmes à des entités utilisées par Discover.
D’où proviennent les entités utilisées par Google Discover ?
Les entités exploitées par Google Discover proviennent de deux grandes sources : Wikidata et Knowledge Graph.

Vous pouvez accéder aux entités Wikidata sur https://www.wikidata.org/wiki/Wikidata:Main_Page en utilisant la barre de recherche. Les entités Knowledge Graph sont quant à elles consultables grâce à l’API proposée par Google.
Les entités peuvent être des thèmes génériques, des noms propres ou des marques. Les marques ou les noms propres sont appelées “entités nommées”.
Comment connaître la principale entité associée à un sujet ?
Sur votre propre flux Discover, cliquez sur les trois petits points verticaux en bas à droite, et regardez la ligne “Un thème qui ne m’intéresse pas”. Vous connaîtrez les principales entités associés à cet article.
Voici des exemples d’entités associées à des titres :
- Affections de longue durée, arrêt maladie… Les pistes choc de l’Assurance maladie pour réduire les dépenses de santé : Ameli, Assurance maladie ;
- Deux avions de chasse russes abattus par des drones ukrainiens : drone ;
- Pourquoi je n’achèterai pas la Switch 2 : Nintendo Switch ;
- Etc.
Cette méthode est artisanale, et implique que votre flux soit guidée par vos activités professionnelles afin de procéder à un benchmark concurrentiel. En d’autres termes, si vous surfez sur des sites sur les animaux et le tourisme toute la journée sur votre smartphone personnel, vous n’aurez pas de contenus Discover sur l’emploi qui est pourtant votre secteur d’activités !
Comment exploiter les entités dans mon contenu ?
Un peu sur le même principe que la rédaction SEO-Friendly, vous pouvez mettre en avant l’intitulé de vos entités dans le titre ou en début de contenu. Cela aidera l’algorithme à vous associer à celle-ci, et à vous faire remonter auprès des internautes identifiés comme intéressés par ces entités.
Respecter les consignes éditoriales et le SafeSearch
Les contenus présentés sur Discover doivent être “politiquement corrects”, qu’il s’agisse d’articles ou de vidéos. Oubliez les sujets très militants avec des candidatures, des pétitions, des formations, de même que des contenus satiriques qui ne précisent pas de contexte (je ne suis pas sûr que le Gorafi est une chance de ressortir par exemple). Discover utilise également SafeSearch, son algorithme qui permet de flouter ou de filtrer les résultats “explicites” (pour adultes ou violents).
Choisir un titre accrocheur
D’après mon expérience, l’algorithme commence à monter votre article à une audience très ciblée avant d’élargir la diffusion si le taux de clic (CTR) est au rendez-vous. C’est pour cela que l’on assiste à une diminution du taux de clic dans les jours qui suivent la première apparition dans le flux.

L’exemple de cet article montre bien cette dynamique sur une semaine :
- Jour 1 : 1 622 clics pour 16 727 impressions (CTR : 9,7%)
- Jour 2 : 4 240 clics pour 64 395 impressions (CTR : 6,6%)
- Jour 3 : 1 459 clics pour 29 637 impressions (CTR : 4,9%)
- Jour 4 : 596 clics pour 10 894 impressions (CTR : 5,5%)
- Jour 5 : 171 clics pour 3 461 impressions (CTR : 4,9%)
- Jour 6 : 99 clics pour 1 223 impressions (CTR : 8,1%)
- Jour 7 : 218 clics pour 3 331 impressions (CTR : 6,5%)
À l’inverse, j’ai déjà vu des articles dont le titre et l’image n’ont pas déclenché de clics, et qui ont été très vite retirés du flux.
Votre titre doit attiser la curiosité sans dévoiler le sujet au cœur de l’article :
- Marseille. Un château et un parc paysager à la gloire de Marcel Pagnol
- Marseille. Ce village médiéval offre une vue imprenable sur l’étang de Berre
- Livres : les meilleurs thrillers qui vont vous scotcher avec leurs rebondissements
- Entre inondations et sécheresses : la France peut-elle vraiment manquer d’eau
- Google Search évolue partout sauf en Europe : ce que cela signifie pour les utilisateurs
- Ski : la meilleure station du monde est Suisse !
Tous ces titres d’articles incitent au clic. Par exemple, auriez-vous cliqué sur le dernier article s’il s’appelait Arosa Lenzerheide élue meilleure station de ski au monde selon le site de réservation Omio ? C’est moins probable, car vous auriez eu la réponse dans le titre.
La longueur du titre est comprise aux alentours de 80 à 90 caractères (espaces compris). Un titre un peu plus long pourra être tronqué dans l’affichage du flux, mais cela n’empêchera pas votre article de remonter sur Discover.
Trouver une image attractive
Vous avez déjà noté que vous devez choisir une image avec une largeur minimale de 1200 pixels. Mais vous devez également choisir un visuel qui contribue à l’amélioration de votre taux de clic :
- En captant l’attention et en donnant envie de lire le titre : l’internaute, dans sa frénésie de consommation de contenus, peut faire l’impasse sur la lecture… à moins que l’image n’éveille sa curiosité ou son intérêt ;
- En donnant directement envie de cliquer : une image choisie avec soin peut également inciter directement au clic.
Les images de photothèques sont-elles acceptées par Discover ?
Vous pouvez tout à fait utiliser une image issue d’une photothèque pour illustrer votre article Discover, cela ne nuira pas à votre référencement. Vous devez évidemment posséder les droits des images que vous utilisez.
Je peux mettre mon logo comme image ?
Google vous déconseille d’utiliser le logo de votre site comme image. C’est écrit noir sur blanc dans sa documentation.
Qu’est-ce qu’une bonne image Google Discover ?
La bonne image pour Google Discover est l’image qui apporte un “teasing” de l’article sans “le “spoilers”, et qui ne soit pas trop générique pour vous permettre de vous démarquer.
Vous recherchez une image pour illustrer un article qui parle d’un métier sans diplôme offrant une excellente rémunération ? Oubliez le cochon en tirelire, archi-éculé, et présentez plutôt un homme en bleu de travail entouré d’argent : vous suscitez la curiosité, avec un teasing (c’est un métier manuel, mais lequel ?), et vous soulignez l’intérêt financier de ce métier (l’argent autour).

Puis-je utiliser l’IA générative pour créer mes images ?
Google Discover référence des articles avec des images générées par l’intelligence artificielle, et vous pouvez remonter en faisant ce choix. Je vous conseille cependant de ne pas créer d’image trompeuse, car cela enfreindrait le règlement de Google : “Nous n’autorisons pas les aperçus de contenu qui trompent les utilisateurs et les incitent à effectuer une action en leur promettant des informations qu’ils ne retrouveront finalement pas.”
Concrètement, si vous publiez un article destiné à être référencé sur Discover dont le sujet est un village en Côte d’Or, ne publiez pas une image générée par IA qui montre un village de conte de fées totalement irréaliste par rapport à la réalité.
Proposer un contenu de qualité
Avoir un bon titre, c’est bien. Avoir un contenu qui est lu et apprécié, c’est mieux ! Vous devez apporter des informations de qualité, utiles, fiables et vérifiées (évitez les fake-news). Vous pouvez vous fonder pour cela sur le modèle E-E-A-T (“Experience”, “Expertise”, “Authoritativeness” et “Trustworthiness”) : l’algorithme de Google intègre de nombreux critères de pertinence destinés à favoriser les contenus auxquels il accorde une certaine confiance. Les évaluateurs de la qualité de la recherche sont aussi formés à ces critères E-E-A-T pour évaluer manuellement la qualité des résultats pour des échantillons de requêtes. Vous pouvez en apprendre plus dans le guide des consignes aux évaluateurs de la qualité de la recherche.
Vous pouvez préciser l’information clé au milieu, voire à la fin du contenu. Ainsi, votre lecteur va lire en entier votre contenu pour trouver l’élément mis en avant dans le titre. L’article annoncé par le titre Marseille. Ce village médiéval offre une vue imprenable sur l’étang de Berre peut par exemple citer ledit village au milieu, voire à la fin du texte. Mais ce n’est pas une obligation, si vous considérez cette approche comme gênante pour vos lecteurs.
La longueur du contenu doit coïncider avec les heures de lecture de votre audience. Je vous conseille d’écrire en général des articles plus courts que ce que vous écririez pour des contenus 100% optimisés pour Google, avec des textes de 400 mots à 600 mots en moyenne.
Et l’IA dans tout ça ?
Vous pouvez ressortir sur Google avec un contenu rédigé par l’IA. D’après les guidelines de Google, l’IA est analysée comme un contenu rédigé par un humain (pour le moment). Vous devez cependant vous assurer de la qualité des informations apportés par ce contenu. Récemment, des éditeurs de site ont été écartés de Discover pour publier des contenus de très faible qualité, avec des informations fausses qui portent préjudice à des entreprises : je pense à un réseau de site qui avait annoncé la fermeture de nombreux magasins Décathlon, ce qui était totalement faux.
Identifier l’auteur de l’article et afficher la date
L’affichage du nom de l’auteur s’inscrit dans la démarche E-E-A-T et je vous le recommande très fortement. Vous répondrez ainsi aux critères de transparence. Dans l’idéal, vous pouvez l’afficher sous le titre principal de l’article (<h1>).
Je vous encourage à ajouter une courte biographie de l’auteur, directement sur la page ou (mieux) sur une page dédiée accessible grâce à un lien hypertexte sur le nom de l’auteur. Vous pouvez reprendre sur cette biographie créée sur une page dédiée les derniers articles de l’auteur
Le nom de l’auteur affiché à l’écran doit être le même que celui mentionné par la donnée structurée @author.
Je vous recommande aussi d’afficher la date de publication, et de dernière modification si l’article a vocation à être mis à jour. Pensez à ce que les informations affichées soient identiques aux données structurées @datePublished et @dateModified.
Quel est le calendrier de publication optimal pour Google Discover ?
Vous souhaitez ressortir sur Discover ? Vous devez vous préparer à rédiger régulièrement des contenus.
Trouver la bonne fréquence de publication
Au minimum un article par jour est recommandé pour ressortir sur Google Discover, et plusieurs articles aux jours ou aux heures les plus importantes pour votre stratégie.
Je vous invite à utiliser Google Analytics (ou un autre outil équivalent) pour obtenir ces informations. Sur GA4, il suffit de créer un rapport personnalisé qui affiche l’audience par heure et par jour.

Est-ce que je dois forcément publier tous les jours ?
Vous pouvez obtenir un bon référencement sur Discover sans publier tous les jours. L’important est surtout de publier les jours où votre contenu va intéresser votre audience. Par exemple, un site sur le tourisme va se concentrer sur les week-ends, les jours fériés et les vacances scolaires : ce sont les périodes où les entités associées au tourisme sont les plus remontées par Discover.
Qu’est-ce que la stratégie de la salve sur Discover ?
J’ai expérimenté avec succès la stratégie de la salve sur un site dans le secteur du tourisme. Devant les ressources limitées, ne permettant pas de sortir plusieurs articles par jour, nous nous sommes focalisés sur des salves d’articles avec six contenus par week-end. Chaque week-end, un des six contenus remontait sur Discover pour un résultat qui a dépassé nos objectifs.
Identifiez les tendances et les thèmes de saison
Poster à l’heure où votre audience vos contenus est une première étape, mais cela ne suffit pas ! Vous devez également surfer sur les tendances, que ce soit des actualités ou des thèmes saisonniers récurrents :
- Un site LifeStyle va par exemple publier des articles sur la tonte de pelouse au printemps, et sur l’élagage des arbres en automne ;
- Un site d’emploi va communiquer sur les jobs saisonniers au printemps, quand les recherches des candidats atteignent leur apogée.
Google Trends pour déterminer les tendances
Vous pouvez utiliser Google Trends pour identifier les meilleures périodes pour publier des contenus sur des sujets donnés.
Vous pouvez analyser une expression sur :
- Une année complète pour visualiser la saisonnalité ;
- Les cinq dernières années pour écarter un effet de bord sur l’année analysée, ou mettre en évidence des tendances à long terme de croissance ou de déclin de l’intérêt sur la requête ou le sujet.
Se montrer patient pour ressortir sur Discover
Attention : apparaître sur le flux Discover ne se fait pas en un claquement de doigt ! Certains sites mettent des mois pour y parvenir. Vous devez répondre aux contraintes techniques puis publier régulièrement, en mettant évidemment en ligne des articles ciblés et répondant aux critères spécifiques. Je vous invite à vous montrer persévérant : généralement, cela paye !
Le flux Discover est un peu instable et un brin aléatoire : vous n’avez pas la certitude que tous vos articles vont apparaître, loin de là. Mais sur la masse, plusieurs vont remonter et générer une audience considérable.